Né en 1843 à Châlon-sur-Saône, il est d’abord connu comme peintre de fleurs. Il s’était formé au dessin dans une manufacture d’impression sur étoffe de Mulhouse où il avait été placé à quatorze ans pour apprendre le métier de dessinateur industriel. 

 

Il quitte ce milieu industriel pour venir à Paris en 1860 et se livre à diverses activités. Ce fut probablement pour son talent de peintre que Thesmar fut remarqué en 1872 par Ferdinand Barbedienne .

 

Chez Barbedienne, Thesmar prends la direction de la production des émaux. Les réalisations de Thesmar et Barbedienne reflètent l’intérêt qu’ils ont eu pour les techniques et les compositions décoratives de l’émail japonais. C’est en qualité de « coopérateur de cette maison que Thesmar présenta à l’Exposition des Arts Décoratifs de 1874, Un coq faisan de la Chine.

 

Au Salon de 1875, Thesmar expose deux grandes compositions en émail sur cuivre.

 

En 1891, Thesmar se tourne vers la décoration de la porcelaine et s’adresse à Charles Lauth qui, depuis 1879, dirigeait la Manufacture de Sèvres. C’est à cette date que la collaboration avec la Maison Barbedienne prend fin.

 

Lors de l’exposition universelle de Paris en 1900, il présente une partie de son travail.

– Vous possédez une coupe, un vase de André-Fernand Thesmar et vous cherchez à en connaître la valeur  ?


– Artexpertise.fr et son équipe d’experts et de spécialistes vous proposent une expertise et une estimation gratuite de votre objet d’art de André-Fernand Thesmar.

 

– Après évaluation, nous vous proposerons une solution adaptée pour vendre vos tableaux, vos sculptures et vos objets d’art dans les meilleures conditions.


 .

 

Demande d’estimation gratuite