Francis Picabia Estimation et cote | Expertise gratuite | Réponse immédiate
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Francis Picabia : Résultats de vente aux enchères et valeur en vue d’une vente
Pour les tableaux de la période postimpressionnistes les prix varient de 10.000 à 100.000 euros selon le sujet et les dimensions du tableau.
Une Peinture sur panneau de 24 x 30 cm « Moret-sur-Loing » (1902) Estimation: 20 000 € – 30 000 € s’est vendu 8 000 € (Prix au marteau)
En décembre 2018, un paysage (c.1902) huile sur toile de 33,29 x 41 cm estimé : 40 000 € – 60 000 € s’est vendu 40 000 €.
Autre résultat, un tableau intitulé « Effet de neige, bord de l’Yonne » (1906) une huile sur toile (dimensions 46 x 54,5 cm) estimaée par un commissaire – priseur 40 000 € – 50 000 € a obtenu le prix de 35 000 € (prix au marteau).
Enfin, en novembre 2019, un tableau « Champ près d’un bois » (1903) de 48 x 57 cm estimé par l’expert de la vente 25 000 € – 35 000 € a été adjugé 38 000 €.
Les oeuvres de la période cubiste et Dada sont rares sur le marché et obtiennent des résultats conséquents :
En novembre 2019, un tableau cubiste intitulé « Paysage de la Creuse » vers 1912 (dimensions : 73,5 x 92,5 cm) estimée par la maison de vente 400 000 € – 600 000 € a été adjugé 960 000 €.
Un tableau de la même année intitulé « Le poulailler » (1912) de grande dimension 130,5 x 163 cm estimé par l’expert de la vente 150 000 € – 250 000 € a été vendu 500 000 €.
D’une imagination sans limite, Francis Picabia a peint de nombreux tableaux dans sa période des transparences et malgré le nombre imoprtant d’oeuvres sur le marché, ces tableaux obtiennent toujours des résultats conséquents.
Une huile sur toile intitulée « Briseis » (c.1929) de 72,8 x 60 cm estimée par l’expert de la venet aux enchères 535 000 € – 800 000 € s’est vendu 517 267 €.
En février 2020, « Ligustri » un tableau peint vers 1929 d, de grande dimensions : 151,5 x 96,2 cm estimé par l’expert de la vente 2 600 000 € – 3 309 000 € a atteint la somme de 3 151 472 €.
Autre résultat pour une transparence intituée « Rofa » (c.1932-1933 une huile sur toile de 92,1 x 72,8 cm estimée par l’expert de la vente aux enchères 700 000 € – 1 000 000 € a obtenu un résultat de 530 000
Enfin, un tableau « Le Zèbre » (c.1928-1929) une huile sur toile de 59,7 x 73,5 cm dont l’estimation était de 171 124 € – 228 165 € s’est vendu 159 716 €, résultat en dessous de l’estimation basse.
Les oeuvres après 1935 s’échangent a des prix très élevés malgré l’abondance de tableaux sur le marché.
Le Sacré-Coeur, Montmartre) (c.1938) une huile sur carton ( 55 x 46 cm) Estimée 40 000 € – 60 000 € s’est vendu 38 000 €.
En juin 2019, « Nue de face » (c.1942/43) une Technique mixte sur carton ( 76 x 51,5 cm) estimée 50 000 € – 80 000 € par le commissaire – priseur organisateur de la vente aux enchères a largement dépassée l’estimation; Résultat de venet 309 500 €uros
Autre résultat, « Bord de mer » (c.1938-1940) une huile sur toile carton (dimensions : 28,8 x 20 cm) évaluée par l’expert de la vente aux enchères 30 000 € – 40 000 € a obtenu le résultat de 35 000 €.
Pour finir, une Tête de jeune femme un tableau sur carton (49 x 40 cm), Estimation: 30 000 € – 40 000 € a obtenu le résultat de 68 000 €uros.
Les prix des dessins et aquarelles de Francis Picabia débutent à plusieurs milliers d’euros.
En 2016, une étude de nu réalisée au crayon sur papier, est adjugée 2 700 €, soit plus du double de son estimation haute. Les dessins appartenant à la série emblématique des Transparences s’échangent dans les salles de ventes aux enchères entre 20 000 et 60. 000 euros. Les enchères des aquarelles cubistes de Francis Picabia se situent entre 200 000 et 500.000 €.
BIOGRAPHIE
Peintre, graphiste et écrivain dadaïste et surréaliste français, né le 28 janvier 1879 à Paris et mort dans la même ville le 30 novembre 1953. Sa mère est française et son père espagnol, attaché à l’ambassade de Cuba à Paris. Il étudie aux écoles des Beaux-Arts et des Arts Décoratifs. Au début de sa carrière, de 1903 à 1908, il est influencé par les peintres de Barbizon, côtoie Alfred Sisley et Camille Pissaro qu’il rencontre en 1898, puis les peintures impressionnistes, cubistes et enfin abstraites. Son aquarelle Caoutchouc (1909) est considérée comme une des oeuvres fondatrices de l’art abstrait.
En 1911, il rejoint le groupe de Puteaux qui se réunit dans le studio du peintre Jacques Villon. Il est aussi en relation avec l’artiste Marcel Duchamp. Il devient également orphiste et crée en 1912, à Puteaux, le Salon de la Section d’or, avant de connaitre un premier succès international à l’exposition de l’Armory Show de New York en 1913, où il fonde avec Marcel Duchamp et Man Ray la revue 291. Marqué par la Broyeuse de chocolat et le concept de ready-made de Marcel Duchamp, il confectionne dès 1913 une série d’oeuvres où il reprend l’esthétique du dessin industriel, recopiant ou simplifiant des images qu’il trouve dans le magazine scientifique La Science et la Vie. Les compositions de Picabia présentant un caractère volontairement absurde, tant par le titre qui leur est données que par les inscriptions et textes dont elles sont pourvues.
De 1913 à 1915, Picabia se rend plusieurs fois à New York et prend une part active dans les mouvements d’avant-garde, introduisant l’art moderne sur le continent américain. En 1916, après une série de compositions « mécanistes » où il traite les objets manufacturés avec une distante ironie, il lance à Barcelone la revue 391 et se rallie au dadaïsme. Il rencontre Tristan Tzara et le groupe dada de Zurich en 1918. Il se fait alors le propagateur de dada avec André Breton à Paris – moment où il crée des oeuvres d’un humour particulièrement provocateur et truculent. Polémiste, iconoclaste, sacrilège, le turbulent Picabia s’agite un temps autour de Dada en électron libre, en étant en principe anti-tout, voire même anti-Picabia. En 1921, il rompt avec ses anciens complices.
Francis Picabia est un vrai moderne. Outre l’automobile, il se passionne pour le cinéma et la photographie à laquelle il est initié très tôt. Ses écrits sur le cinéma révèlent un réel intérêt et il pressent le rôle que le cinéma américain continuera à jouer. En 1924, il écrit un scénario délirant (montrant une partie d’échec entre Marcel Duchamp et Man Ray) pour le cour métrage Entracte, destiné à être projeté à l’entracte de son ballet instantanéiste Relâche(chorégraphie de Jean Börlin, musique d’Erik Satie). Il travaille ensuite pour les Ballets suédois de Rolf de Maré, pour lesquels il réalise de nombreux décors.
Picabia est l’homme de tous les courants novateurs et refuse de se laisser enfermer dans un seul type d’expression. Il aura des périodes liées au futurisme, à la figuration académique (aux accents oniriques). Après 1945, il renoue avec l’abstration.
Aimant beaucoup les fêtes et les voitures (il en collectionna plus de 150) il se ruine, ce qui le pousse à multiplier les petites toiles de nombreux genres, parfois même inspirées de magazines pornographiques. Ses derniers tableaux sont minimalistes, des points de couleurs semés sur des fonds épais et monochromes, titrés Je n’ai plus envie de peindre, quel prix ?, Peinture sans but ou Silence … La critique y reverra le signe de Dada.