La maison de vente aux enchères Briscadieu Bordeaux en partenariat avec le Cabinet d’Expertise Alexis Maréchal, présente une importante vacation de tableaux, mobilier et objets d’art du XVIII ème, XIX ème et XX ème siècles.


Cette vente composée de 288 lots soigneusement sélectionnés offrira un large choix de tableaux, de meubles et d’objets d’art de qualité provenant d’un château en Gascogne, de successions et collections particulières de Bordeaux et de Gironde.

La vente débutera par les tableaux anciens avec une nature morte aux fruits et oiseaux dans le goût de Snyders, une huile sur toile de Charles Antoines Coypel intitulée « Mise au tombeau » (estimation20 000/30 000 €) ainsi qu’une paire de dessins au fusain par Marcel Junca « Souvenirs de Louisiane », entre autre.

Au chapitre des tableaux modernes, on notera la présence d’un important tableau de Maurice de Vlaminck « La Vallée de la Seine » Circa 1912 de grande dimension (87 x 115 cm) estimée 70.000/100.000 euros.

L’œuvre fera l’objet d’une inclusion dans les « Archives Vlaminck ». constituées à l’initiative de Madame Godelieve de Vlaminck, en collaboration avec Madame Pascale Krausz.

Les paysages de la Vallée de la Seine sont le sujet de prédilection de Maurice de Vlaminck, installé à Chatou avec ses parents en 1893, puis à Rueil en 1905. A partir de 1908, il s’éloigne du fauvisme et se tourne vers des préoccupations de construction cézannienne.

Avec cette période cézanienne de son œuvre on « relève de nombreuses vues de village prétexte à une imbrication des volumes, à une synthétisation des formes et à  une restitution de l’espace par facettes qui doivent autant à l’interet du peintre pour la sculpture africaine …. qu’à  l’interprétation de Cézanne. » (Maïté Valles-Bled dans Vlaminck un instinct fauve, Musée du Luxembourg, Skira, 20 février – 20 juillet 2008).

 

A retenir également, une magnifique toile du peintre Belge Alphonse Proost (1880-1957) « Rotten Row (Hyde Park) London » située et datée « London 1918, ainsi qu’un tableau du peintre Russe Ivan Federovitch Choultse  (1874-1939) Bords d’étang en automne, 1922.4 000/7 000 € et également deux rares aquarelles Aquarelle, encre sépia et crayon sur carton de Salvatore Dali (1904-1989 Illustrations pour l’ouvrage de Dante Alighieri  » La Divine Comédie » Joseph Foret, Les Heures Claires (1959-1963).

 

Également à découvrir un bel ensemble d’une soixantaine de faiences fines de la manufacture de Jules Vieillard à Bordeaux dont « Portique japonais », Rare et importante pendule de table en faïence émaillée vert bronze et poudre à l’or au four. Cadran circulaire émaillée ; estimation 5 000/8 000 €

La vente se poursuivra avec une belle collection de sculptures en bronze d’après Antoine Louis Barye et Isidore Jules Bonheur (1827-1901) dont le groupe important intitulé « Le Grand jockey » est attendu entre 15 000 et 20 000 €.

 
Parmi le mobilier du XX ème, on remarquera un élégant cabinet entiérement gainé de parchemin attribué à la Maison Jansen (estimation 3 000/5 000 €).

En fin de vente, le lot n°282 un miroir en céramique émaillée noir de georges Jouve (1910-1964) devrait susciter un grand intêret. De Forme libre, ce modèle conçu vers [1955] Signé JOUVE et du monogramme A.P. pour Apollon au revers, porte au dos une étiquette ancienne At Home Galerie d’art 16 rue Croix-Barragnon Toulouse. H.: 31,8 cm, L.: 34,9 cm, P.: 8,5 cm. Estimé par l’expert de la vente 8 000/12 000 €.

Bibliographie : Préface de Pierre Bergé, textes de Philippe Jousse et de Norbert Pierlot – Georges Jouve – Editions Jousse Entreprise, Paris, 2005. Modèle identiques et variantes d’émaillage reproduits pages 184, 185 et 289.

 

Quelques oeuvres marquantes de cette vente aux enchères


DANS LE GOUT DE FRANS SNYDERS

Nature morte aux fruits et oiseaux

Panneau parqueté.

Dans un cadre en bois et stuc doré. Marque au dos : DB44.

55,5 x 84 cm.

(Restaurations anciennes).


CHARLES ANTOINE COYPEL (PARIS 1694-1752)

La mise au tombeau
Toile.
Dans cadre en bois et stuc doré à décor de palmettes.
67 x 57 cm.
Etiquette ancienne au dos : N4808?082
(Restaurations anciennes, petites griffures).

Gravé par François Joullain après 1734, avec des variantes, la gravure se situant peut-être entre l’esquisse et la réalisation finale. Sur l’estampe, le fond de pierre appareillé est remplacé par des pilastres ioniques, deux nuages avec des anges sont ajoutés de part et d’autre du tableau, et on ne voit pas l’échelle et le bas de la croix derrière les figures mais dont on sait qu’étaient représentés dans le grand format (comme dans notre esquisse).

Bibliographie : Thierry Lefrançois, « Charles Coypel 1694-1752 », Paris, Arthena, 1994, p. 276, P. 158 (oeuvre disparue)

Cette esquisse est préparatoire au maître-autel de l’église du collège Saint-Nicolas du Louvre, qui était située entre l’actuelle place du Carrousel et le haut du jardin des Tuileries, au niveau du guichet côté Seine, c’est-à-dire des pavillons de la Trémoille et de Lesdiguières. Elle a été rasée avant la Révolution.
Né à deux pas de l’église, et voisin proche lorsque ses parents s’installèrent aux Galeries du Louvre, quatre ans plus tard, Charles-Antoine Coypel a passé toute sa vie dans l’enceinte du château. En 1734, alors qu’il est déjà un peintre célèbre ayant gravi les échelons hiérarchiques de l’Académie Royale, la compagnie du collège Saint-Nicolas lui demande d’être le parrain de la nouvelle cloche qui va être fondue. En échange, le peintre se propose d’offrir un tableau pour le maître-autel.

Ce qu’il soumet dans cette esquisse est cependant beaucoup ambitieux car la peinture est incluse dans un ensemble décoratif complexe avec une gloire d’où s’échappe des rayons au-dessus et des anges pleurant sculptés devant un tombeau vers lequel glisse le corps du Christ.
Malgré les dépenses de maçonnerie, menuiserie occasionnées par ce projet, il fut accepté et Sébastien-Antoine et Paul-Ambroise Slodtz se chargèrent des sculptures et des stucs.

L’abbé Demayne, chanoine de l’église Saint-Nicolas du Louvre, a publié dans le Mercure de France d’octobre 1734 (pp. 2169-2179) les détails de toute cette opération, en mentionnant les variantes entre le « dessein » (l’esquisse) et la réalisation finale due à l’adaptation à la configuration de lieu.


ALPHONSE PROOST (1880-1957)

Rotten Row (Hyde Park) London.

Huile sur toile, signée, 

située et datée « London 1918 » 

en bas à droite. N°182, titrée, 

et contresignée au verso.

64 x 76,5 cm.

IVAN FEDOROVITCH CHOULTSE (1874-1939)

Bords d’étang en automne, 1922.

Huile sur toile, signée et datée 22 en bas à droite.

41 x 61 cm.

MAURICE DE VLAMINCK (1876-1958)

La Vallée de la Seine. 

Circa 1912.

Huile sur toile, signée, en bas, à droite.

87 x 115 cm.

(Rentoilé)

L’oeuvre fera l’objet d’une inclusion dans les « Archives Vlaminck ».

constituées à l’initiative de Madame Godelieve de Vlaminck, en

collaboration avec Madame Pascale Krausz.

Les paysages de la Vallée de la Seine sont le sujet de prédilection de

Maurice de Vlaminck, installé à Chatou avec ses parents dès 1893, puis à

Rueil en 1905. A partir de 1908, il s’éloigne du fauvisme et se tourne vers

des préoccupations de construction cézannienne.

Avec cette période cézanienne de son oeuvre on « relève de nombreuses

vues de village prétexte à une imbrication des volumes, à une synthétisation

des formes et à une restitution de l’espace par facettes qui doivent autant

à l’intérêt du peintre pour la sculpture africaine . qu’à l’interprétation de

Cézanne. » (Maïthé Valles-Bled dans Vlaminck un instinct fauve, Musée du

Luxembourg, Skira, 20 février – 20 juillet 2008).

SALVADOR DALI (1904-1989)

De l’Empyrée.
Illustration pour le Paradis, chant 30 pour l’ouvrage de Dante Alighieri illustré par Salvador Dalí, La Divine Comédie, Joseph Foret, Les Heures Claires (1959-1963), 1952.
Aquarelle et gouache sur papier épais, 43 x 30,9 cm irrégulier. Signé et daté à l’aquarelle en bas au centre dans un cartouche « Dalí / 1952 ». Inscrit au dos par un tiers au crayon en bas au centre « Paradiso / 30° » et en bas à droite « 48 ». Trace d’un tampon des douanes françaises au dos en haut à droite. Estampe reproduite dans : Field, Albert, The Official Catalog of the Graphic Works of Salvador Dalí, The Salvador Dalí Archives, New York 1996 (English), p.199, nr.ci64-03-097.
Cette aquarelle est répertoriée dans les Archives Descharnes sous le n° d4578_1952.

GRAND CARTEL D’APPLIQUE EN BRONZE DORE

Marqueterie d’écaille brune et laiton gravé dans le goût d’André-Charles Boulle, le cadran à chiffres romains émaillés noir dans des cartouches, flanqué de feuilles de refend et volutes, surmonté d’un mascaron à palmette et d’une figure de Jupiter enfant, reposant sur des pieds en enroulement, avec un cartouche inscrit Thuret à Paris, les côtés en marqueterie à décor de rinceaux de feuillages en première-partie, et mufles de lions, la console à montants ajourés et volutes encadrant un profil de femme à l’antique surmontant un trophée militaire sur fond d’écaille brune.

H.: 110 cm, L.: 35,5 cm, P.: 16,5 cm.

IMPORTANT GROUPE EN BRONZE

Le Grand jockey 

Signé I. Bonheur pour Isidore Jules Bonheur (1827-1901).

Patine brune

Fin du XIXème siècle.

H.: 97 cm, L.: 105 cm, P.: 35 cm.

IMPORTANT GROUPE EN BRONZE A PATINE VERTE

Lion attaquant un serpent 

d’après Antoine Louis Barye, 

signé Barye et F. Barbedienne Fondeur.

Seconde moitié du XIXème siècle.

H.: 40 cm, L.: 55 cm.

ÉTABLISSEMENTS GALLÉ (1904-1936)

Paysage lacustre et bras de rivière arboré 

Important vase balustre reposant sur piédouche 

et au col terminé évasé. Épreuve en verre multicouche au décor,

dégagé à l’acide, traité brun, ambre et roux sur fond beige.

Signé GALLÉ, en réserve gravé en camée à l’acide. 

H.: 51 cm.

ALPHONSE MUCHA (1860-1939) 

Les heures du jour 
le modèle conçu en [1899], réf. Rennert & Weill n° 62.
Suite de quatre panneaux décoratifs : Éveil du matin, Éclat du jour, Rêverie du soir et Repos de la nuit. Épreuves lithographiques en douze couleurs et à l’or comprenant : Éveil du matin, Éclat du jour, Rêverie du soir et Repos de la nuit. 
Chaque planche complète de sa marge.
OEuvres imprimées par F. Champenois à Paris.
Chacune signée et datée dans la planche MUCHA (1899). 
À vue : 106 x 39,5 cm. 
États : 
– Éveil du matin : Couleurs et dorure fraiches, petites salissures éparses, une déchirure (environ 6 cm) en partie haute, ruban papier adhésif sur le pourtour du dos.
– Éclat du jour : Planche insolée, dorure fraiche, nombreuses déchirures et nombreuses traces de ruban adhésif, nombreuses restaurations au ruban adhésif, ruban papier adhésif sur le pourtour du dos.
– Rêverie du soir : Couleurs et dorure fraiches, petites salissures éparses, mouillures dans les marges notamment en bas, ruban papier adhésif sur le pourtour du dos.
– Repos de la nuit : Couleurs et dorure fraiches, petites salissures éparses, un petit arrachement de surface dans la partie haute, ruban papier adhésif sur le pourtour du dos.

Bibliographie : Jack Rennert et Alain Weill – Alphonse Mucha, Toutes les affiches et panneaux – Éditions Henri Veyrier, Paris, 1984. OEuvres référencées sous le numéro 62 page 232 et reproduites pages 233 à 237. 

GEORGES JOUVE (1910-1964) 

Forme libre

le modèle conçu vers [1955]

Miroir à suspendre.

L’encadrement en céramique émaillée noir. Complet de son miroir, de son fond en contreplaqué et de son système d’accroche d’origine. OEuvre réalisée vers 1955/60.

Un éclat sur le pourtour du dos ; se prolongeant de façon à peine visible sur le pourtour du cadre, piqûres sur le tain du miroir.

Signé JOUVE et du monogramme A.P. pour Apollon au revers, porte au dos une étiquette ancienne At Home Galerie d’art 16 rue Croix-Barragnon Toulouse.

H.: 31,8 cm, L.: 34,9 cm, P.: 8,5 cm.

Bibliographie : Préface de Pierre Bergé, textes de Philippe Jousse et de Norbert Pierlot – Georges Jouve – Éditions Jousse Entreprise, Paris, 2005. Modèle identiques et variantes d’émaillage reproduits pages 184, 185 et 289.

JOSÉ MARIA DAVID (1944-2015)

Jamil [A.B.], exemplaire N° 8/8.
Sculpture. Épreuve en bronze à patine brune. 
Signée José Maria DAVID, titrée Jamil A.B., 
porte le cachet de la Fonderie CHAPON Paris 
et le justificatif 8/8 sur la terrasse.
H.: 68 cm, L.: 90 cm, P.: 25 cm.

Provenance : Collection privée bordelaise.

 


Vente en partenariat avec le cabinet d’expertise Alexis Maréchal

 

 

CONDITIONS DE LA VENTE

La vente se fait expressement au comptant. Les objets sont vendus en l’état ou ils se trouvent, aucune réclamation ne sera admise une fois l’adjudication prononcée, une exposition prèalable ayant permis aux acquéreurs de se rendre compte de leur état. Les dimensions, couleurs et poids des objets sont donnés à titre indicatif et ne sont pas contractuels.Les éventuelles modifications aux conditions de vente ou aux descriptions du catalogue seront annoncées verbalement pendant la vente et notées sur le procés-verbal. L’adjudicataire sera le plus offrant et dernier enchérisseur et aura pour obligation de remettre son nom et adresse. En cas de contestation au moment des adjudications, c’est-à -dire s’il est établi que deux ou plusieurs enchérisseurs ont simultanément portés une enchère équivalente, soit à haute voix, soit par signe et réclament en même temps cet objet après le prononcé du mot « adjugé », ledit objet sera immédiatement remis en adjudication au prix proposé par les enchérisseurs et tout le public sera admis à enchérir à nouveau

FRAIS DE VENTE ET PAIEMENT

Les acquéreurs paieront en sus des enchères par lot : 23 % TTC (19,1667 % HT). Le paiement devra être effecté immédiatement après la vente :
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virement bancaire (euros) : coordonnées bancaires sur bordereau,
– par 
carte bancaire : Visa, Mastercard, China Unionpay.

– en espèces (euros) jusqu’à 1000 € (commission acheteur comprise) pour les ressortissants français ou jusqu’à 15 000 €(commission acheteur comprise) pour les ressortissants étrangers (sur présentation d’un justificatif de domicile, avis d’imposition, etc. en plus du passeport),
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En cas de paiement par chèque ou par virement, la délivrance des objets pourra être différée jusqu’à  l’encaissement. Les clients non-résidents en France ne pourront prendre livraison de leurs achats qu’après un virement bancaire. A défaut de paiement par l’adjudicataire de la totalité des sommes dues, dans le mois qui suit la vente, et après une seule mise en demeure restée infructueuse, la Maison de Ventes BRISCADIEU entamera une procédure de recouvrement. L’acheteur sera inscrit au fichier centralisé d’incidents de paiement du SYMEV (www.symev.org) et l’ensemble des dépens restera à  sa charge. A compter d’un mois après la vente, et à la demande du vendeur, la vente pourra être annulée sans recours possible.

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