Cote des oeuvres de Joseph Lepine | Estimation & prix de vente
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BIOGRAPHIE DE JOSEPH LEPINE
Né à Rochefort-sur-mer, Joseph Lépine (1867-1943) suit des études de droit à Bordeaux avant de livrer ses premières esquisses à l’âge de 25 ans, et d’emprunter les pinceaux deux ans plus tard.
Elève de Louis-Alexandre Cabié, peintre proche de l’école de Barbizon, il se forme sur le motif, brossant les paysages girondins, puis monte à Paris en 1897 où il expose à la Société nationale des Beaux-Arts et fréquente les ateliers de Courtois et Girardot, deux élèves de Jean-Léon Gérôme. « Il se fait remarquer par la vivacité de ses couleurs, la montée des jaunes en particulier, et il bénéfice d’un premier achat de l’Etat au Salon des Indépendants de 1908, Vieille boutique, actuellement au Musée de Menton », explique Philippe Greig.
A la faveur de séjours dans le Midi, Joseph Lépine enrichit encore sa palette de couleurs vives et saturées, dépeignant au gré d’une touche fragmentée la lumière éblouissante qui inonde les baies d’Antibes et de Saint-Tropez. « Les deux versions de La baie d’Antibes (1 200 – 2 000 euros) présentées à la vente sont brossées en 1917 au moment où Lépine rencontre Signac,précise Philippe Greig. Il a alors 50 ans. La grande Nature morte sur la baie de Saint-Tropez (8 000 – 10 000 euros), peinte lors d’un nouveau séjour sur la Côte pourrait être son envoi de 1924 à la Société Nationale des Beaux-Arts. »
Ses pérégrinations le conduisent tour à tour en Bretagne (La maison de l’écluse sur la baie du Pouldu, Moulin sur la mer) et en Corrèze (La Maison à Croizie, Argentat, Granges à Corrèze), avant qu’il n’entame, lors des dernières années de sa carrière, sa série des cathédralesd’Amiens, Rouen et Notre-Dame de Paris. « A 75 ans, il travaille toujours sur le motif, à Paris, en plein hiver, lorsqu’il est brusquement hospitalisé à l’Hôtel-Dieu, presque au parvis de Notre-Dame qu’il a si souvent contemplé. Il meurt le 23 juillet 1943. »
Lors des dernières années de sa carrière, Joseph Lépine porte une attention accrue sur le travail de la matière, déjoue encore les lois de la perspective et use de contrastes saisissants, réalisant des peintures lumineuses, à l’instar de Saint-Gervais sous la neige (1 200 – 1 500 euros), dont la facture audacieuse le hisse parmi les grands maîtres post-impressionnistes. Une place que Jean Goigoux s’évertua à redonner à l’artiste en donnant notamment accès aux œuvres de sa collection lors d’une rétrospective organisée en 1958 à l’Hôtel de Ville de Mérignac.
Le divisionnisme des tons qu’il commence à pratiquer en 1900 montre un pointillisme très personnel proche de Camille Pissarro que du néo-impressionnisme de son ami Paul Signac qui le reçut dans son atelier de Saint Tropez.
Il rompt avec une première formation juridique assez poussée; il décide de rallier sa vocation veritable, commence à suivre à Bordeaux l’enseignement de Louis Cabié puis à Paris les cours de l’académie Juilan et le saon commence en 1897 à accueillir ses pastels, essentiellement des interieurs.
Son installation à Paris Boulevard Raspail l’amene à l’ordre néo impressionniste. Ses experiences antérieures des salons un peu secrets evoquant ceux de Vollard, des natures mortes aux contours flous, il va desormais les harmoniszer avce avec ses dernières recherches divisionnistes dans de claires et lumineuses compositions figurant des tables garnies de fruits et de vases au milieu de jardins en fleurs, un thème que Le Sidaner exploitera beaucoup après 1920.
Pendant la guerre 1914 – 18 Lepine poursuit son art de clarté et d’éblouissement dans des paysages receuillis à Antibes, dans la Creuse, en Corrèze.
Vers 1928, il se passionnera comme Claude Monet dans des jeux de lumière selon l’heure et les saisons sur les pierre des cathedrales de Rouen, d’Al-miens ou de Notre Dame de Paris.
A 75 ans, en 1942, il retouve Paris, s’installe dans un modeste hotel de l’ile Saint Louis pour composer ses derniers paysages de Montmartre et des bords de la Seine.
LISTES DES ARTISTES DE BORDEAUX DU BASSIN D’ARCACHON ET DU SUD OUEST QUE NOUS RECHERCHONS EN PERMANENCE POUR NOS CLIENTS COLLECTIONNEURSCharles Lacoste Félix Tobeen Jean Dupas André Lhôte Albert Marquet Jean Gabriel Domergue Odilon Redon Rodolphe Bresdin Pierre Albert Bégaud Pierre Théron Marius et Camille de Buzon André Caverne Jean Despujols Raphaël Delorme René Buthaud Paul Antin Georges de Sonneville Pierre Louis Cazaubon Joseph Lépine, Maurice Roganeau Emile Brunet Alexandre Callède Roger Mathias Louis Auguin Hippolyte Pradelles Amédée Baudit Léonce Chabry Jean Cabrit Paul Sébilleau Louis Alexandre Cabié Julien Calvé Alfred Smith François Max Bugnicourt Eugène Forel Hermann Delpech Raoul Dosque Léon Bopp du Pont Jean Hugon Maurice Larue Jean Rigaud Pierre Gaston Rigaud Ramiro Arrue Louis Floutier Blanche Odin Pierre Molinier René Princeteau Emile Brunet Marcel Beronneau Paul Bazé Yvonne Préveraud Georges de Sonneville Cyprien Alfred Duprat Amédée de Caranza John Lewis Brown Felix Carme Sem Alfred Smith Paul Quinsac Maxime Lalanne Richard Lafite Faxon Jean Paul Alaux Gustave de Galard Léo Drouyn Pierre Edouard Dagoty Edouard Fontan Pierre Emile Bernéde Rosa Bonheur Isidore Bonheur Roger Bissière Victoire Elisabeth Calcagni Gaston Schnegg Lucien Schnegg Joseph Lailhaca Adrien Dauzats Stanislas Gorin Pierre Lacour Raymond Brascassat Charles Cante Albert Greig Pablo Tillac Leon Bonnat Jean Roger Sourgen Marius Gueit – Louis Floutier – Ramiro Arrue – Paul Bazé – Alex Lizal – Pierre Gaston Rigaud – Georges Masson – Jean Roger Sourgen – JIVA (William JIVANOVITCH) – PIERRE LABROUCHE – René Choquet – Gustave Colin – Achille Zo – Léon Bonnat – Raoul Serres – Ignacio ZULOAGA – Hippolyte Marius GALY – Pablo TILLAC – Hélène ELISSAGUE dite ELIZAGA – Jacques LE TANNEUR … |