Toulouse-Lautrec Expert tableau affiche Estimation gratuite
• Vous possédez un tableau de Toulouse-Lautrec et cherchez à connaître la valeur des oeuvres de cet artiste (tableaux, dessins, lithographies, affiches anciennes) ?
• Vous souhaitez vendre ou faite estimer une oeuvre de Toulouse-Lautrec (affiche, dessin, tableau, lithographie, livre illustré) ?
• Artexpertise.fr et son équipe de spécialistes vous proposent une estimation gratuite de vos tableaux, dessins de Toulouse-Lautrec en toute confidentialité.
• Après évaluation, nous vous proposerons une solution adaptée pour vendre votre affiche de Toulouse Lautrec dans les meilleures conditions.
Biographie
Fils du comte Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa (1838-1913) et d’Adèle Tapié de Celeyran (1841-1930). Henri de Toulouse-Lautrec est né dans l’une des plus vieilles familles nobles de France, descendant en effet en droite ligne descomtes de Toulouse qui furent jusqu’au 13 ème siècle parmi les plus puissants féodaux du royaume. Cependant, cette branche cadette, malgré son nom illustre, vit comme une famille aisée de la noblesse de province.
Au XIX ème , les mariages dans la noblesse se faisaient couramment entre cousins afin d’éviter la division des patrimoines et l’amoindrissement de la fortune. Ce fut le cas des parents d’Henri, Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa et Adèle Tapié de Celeyran, qui étaient cousins au premier degré. Ils eurent deux garçons dont Henri était l’aîné ; quatre ans plus tard naquit son frère Richard-Constantin, qui mourut un an après.
Il fut l’élève de René Princeteau qui devint ensuite son ami. Sa propriété de Malromé se trouvait à seulement 2 kilomètres de Pontus, qui appartenait à Princeteau.
Henri de Toulouse-Lautrec eut une enfance heureuse jusqu’au moment où se révéla en 1874 une maladie qui affectait le développement des os. Il s’agit d’une maladie génétique, ses parents étant cousins germains. Ses os étaient fragiles et, entre mai 1878 et août 1879, il souffrit d’une fracture du fémur bilatérale ce qui aggrava son retard de croissance : il ne dépassa pas la taille de 1,52 m. On essaya de le guérir au moyen de décharges électriques et en lui plaçant à chaque pied une grande quantité de plomb.
Comme toujours dans cette affection, son tronc était de taille normale, mais ses membres étaient courts. Il avait des lèvres et un nez épais. Il avait un cheveu sur la langue, ce qui le faisait zézayer. Il en jouait, faisait le provocateur dans les salons. Il se fit photographier nu sur la plage de Taussat , ou avec le boa de Jane Avril (dit « Mélinite »), tout en étant très conscient du malaise que suscitait son exhibitionnisme.
Élève au Lycée Condorcet, il échoue en 1881 au baccalauréat, mais est reçu à Toulouse à la session d’octobre. C’est alors qu’il décide de devenir artiste. Soutenu par son oncle Charles et par René Princeteau ami de son père et peintre animalier, il finit par convaincre sa mère.
Toulouse-Lautrec vécut pour son art. Il devint un peintre du postimpressionnisme , un illustrateur de l’art nouveau et un remarquable lithographe ; il a croqué le mode de vie de la Bohème parisienne à la fin du xixe siècle. Au milieu des années 1890 il a contribué par des illustrations à l’hebdomadaire humoristique Le Rire.
On le considérait comme « l’âme de Montmarttre », le quartier parisien où il habitait. Ses peintures décrivent la vie au Moulin rouge et dans d’autres cabarets et théâtres montmartrois ou parisiens; il peint Aristide Bruant mais aussi dans les maisons closes qu’il fréquentait. Trois des femmes bien connues qu’il a représentées étaient Jane Avril, la chanteuse Yvette Guilbert et La goulue danseuse excentrique qui créa le « cancan », enfant de Clichy où elle travailla comme blanchisseuse avec sa mère.
Il fut alcoolique pendant la plus grande partie de sa vie d’adulte. En effet, il avait coutume de mélanger à son absinthe quotidienne du cognac, au mépris des convenances de l’époque. Il utilisa notamment le subterfuge d’une canne creuse pour cacher une réserve d’alcool.
Il fut inhumé dans le cimetière de Verdelais (Gironde) à quelques kilomètres de Malromé.
Ses derniers mots furent adressés à son père qui était présent au moment de sa mort, faisant allusion aux goûts de cet aristocrate fantasque et passionné de chasse : « Je savais que vous ne manqueriez pas l’hallali »; on cite aussi sa réaction lapidaire voyant son père, chasseur dans l’âme, tentant de toucher une mouche qui volait sur le lit de mort de son fils avec l’élastique d’une de ses bottines : « Quel con ! ».
À noter qu’au Musée Toulouse Lautrec (Albi, Tarn), il est fait allusion aux dernières paroles de l’artiste adressées à sa mère. Les relations que Lautrec entretenait avec son père ont été sujettes à de nombreuses divagations.
Le peintre ne fut pas un artiste maudit par sa famille, bien au contraire. Voici la lettre que le comte Alphonse, son père, écrit à Gabrielle de Toulouse-Lautrec, sa mère et donc la grand-mère paternelle du peintre, le soir de la mort de son fils : « Malromé, 9 septembre 1901 : Ah chère Maman, que de tristesses. Dieu n’a pas béni notre union. Que sa volonté soit faite, mais c’est bien dur de voir renverser l’ordre de la nature. J’ai hâte de vous rejoindre après le triste spectacle de l’agonie longue de mon pauvre enfant si inoffensif, n’ayant jamais eu pour son père un mot enfiellé. Plaignez-nous. Alphonse.
Après la mort de Toulouse-Lautrec, Maurice Joyant son ami intime, son protecteur, marchand de tableaux voulut mettre en valeur son œuvre avec l’accord de la comtesse Adèle de Toulouse-Lautrec. Ils donnèrent les fonds nécessaires pour qu’un musée soit créé à Albi, ville où naquit l’artiste. La comtesse Alphonse de Toulouse-Lautrec (1841-1930) et Maurice Joyant (1864-1930) offrirent leur superbe collection de tableaux au musée Toulouse-Lautrec d’Albi.
On dit que Toulouse-Lautrec est un artiste génial dont les remarquables capacités d’observation se sont accompagnées d’une sympathie profonde envers l’humanité. Il n’a jamais laissé voir quelque regret que ce fût en raison de sa difformité. Il vécut sa vie pleinement, se fit de nombreux amis et fut toujours accepté malgré sa taille étriquée.
Malgré une vie courte et marquée par la maladie, l’œuvre du peintre est très vaste : le catalogue raisonné de ses œuvres publié en 1971 énumère 737 peintures, 275 aquarelles, 369 lithographies (y compris les affiches et environ 5 000 dessins).
Dans sa jeunesse les chevaux constituaient pour lui un sujet habituel. Depuis l’enfance, il aimait l’équitationet devoir y renoncer à cause de sa maladie fut pour lui quelque chose de très douloureux, c’est pourquoi il décida de continuer à faire vivre dans ses œuvres sa passion pour les chevaux.
Au début de sa carrière, il peignit quelques nus masculins comme exercices, mais ses meilleurs nus représentent des femmes. En général, il préférait partir d’ébauches, mais beaucoup de ses nus doivent avoir été faits d’après nature. D’habitude ses modèles ne sont pas de belles jeunes filles, mais des femmes qui commencent à vieillir. Pour peindre ce genre de tableaux il s’inspirait d’Edgar degas.
Il ne cessait de dessiner : quelques dessins sont des œuvres en eux-mêmes, mais beaucoup sont des ébauches pour des peintures ou des lithographies. Quelquefois ses dessins ressemblaient à des caricatures qui, en quelques traits, rendaient un geste ou une expression.
Bien que ne pratiquant pas lui même la photographie, il comptait parmi ses amis et compagnons d’amusement le photographe professionnel Paul Sescau et les photographes amateurs Maurice Guibert et Francois Gauzy Il se faisait photographier régulièrement par eux, s’adonnant d’une façon ludique au déguisement. Il utilisait aussi les photos de ses modèles ou de personnages pour servir de base à certaines de ses œuvres. La spontanéité et le sens du mouvement de ses compositions sont directement inspirées de l’instantané photographique.
Il créa 31 affiches et 325 lithographies, inventant une technique de « spray » originale, consistant à gratter une brosse à dents chargée d’encre ou peinture avec un couteau.
N’ayant pas besoin d’exécuter des œuvres sur commande, Lautrec choisissait des sujets qu’il connaissait bien ou des visages qui l’intéressaient et, comme il fréquentait des gens de toute sorte, ses tableaux couvrent une vaste gamme de classes sociales : nobles et artistes, écrivains et sportifs, médecins, infirmières et figures pittoresques de Montmartre. Beaucoup de ses tableaux montrent des prostituées parce qu’il les considérait comme des modèles idéaux pour la spontanéité avec laquelle elles savaient se mouvoir, qu’elles fussent nues ou à moitié habillées. Il peignait leur vie avec curiosité, mais sans moralisme ni sentimentalisme et, surtout, sans chercher à leur attribuer le moindre caractère fascinant. Allant au bordel aussi bien par plaisir que par nécessité il y trouvait une vraie affection, si bien qu’il se démarque en donnant à voir des images sans jugement moralisateur et sans voyeurisme. Véritable mascotte des prostituées, ces dernières lui donnent le surnom de « cafetière ».
En tant qu’illustrateur Toulouse-Lautrec a réalisé des affiches devenues célèbres et, partie moins connue de son œuvre, il a également illustré une quarantaine de chansons, des succès principalement interprétés dans les trois grands cabarets parisiens de l’époque : Le Moulin rouge Le Mirliton dAristide Bruant. Son ami Henri Rachou (1856-1944) réalisa son portrait en 1883 (Musée des Augustins de Toulouse, don Georges Séré de Rivière, 1930).
– Comment faire expertiser gratuitement un tableau, une affiche de Toulouse Lautrec ?
Pour confirmer l’estimation qui vous a été communiquée par mail par notre service d’estimation, il faut procéder à l’analyse visuelle de vos objets d’art.
• Comment notre expert réalise t’il l’expertise visuelle d’un tableau de Toulouse Lautrec ?
L’expert qui sera en charge de l’estimation de vos objets d’art et de collection doit se munir d’outil comme une loupe éclairante, une lampe de Wood pour mettre en évidence une signature apocryphe, des restaurations anciennes, des repeints etc…
D’autre part, l’expert doit aussi s’appuyer sur une documentation spécifique : catalogues raisonnés de chaque artiste, publications universitaires, travaux de recherches, catalogues de vente aux enchères. Parfois, un déplacement dans une fondation, dans une bibliothèque s’avère nécessaire pour consulter des ouvrages rares (Fonds patrimoniaux).
Il peut également consulter les sources disponibles sur Internet sur les bases de données des musées nationaux, des galeries d’art ou des fondations étrangères.
• Dois-je me déplacer avec un tableau de Toulouse Lautrec ?
Nous pouvons vous recevoir chaque jour sur rendez-vous à notre bureau pour une expertise gratuite et confidentielle.
Si vous ne pouvez pas vous déplacer ou transporter les oeuvres concernées, nous pouvons nous charger du transport des oeuvres.
Nous pouvons également effectuer un déplacement à votre domicile (sous conditions).
• Comment faire authentifier une affiche De Toulouse Lautrec ?
Notre expérience du marché, la parfaite connaissance des procédures d’authentification nous permettent d’authentifier les oeuvres soumises et obtenir auprès des comités les certificats nécessaires à la mise en vente de vos tableaux, sculptures, antiquités asiatiques et objets d’art.
N’hésitez pas à nous contacter afin de assister pour l’expertise et la mise en ventes de vos peintures, sculptures et objets de collection
– Comment vendre au meilleur prix un tableau, une affiche de Toulouse Lautrec ?
Assisté de l’équipe de commissaires-priseurs et d’experts partenaires, il vous propose un service d’estimation personnalisé dans une vingtaine de spécialités et peut répondre chaque jours à toutes vos demandes en utilisant le formulaire en ligne de demande d’estimation gratuite.
Après évaluation, nous pourrons vous proposer une solution adaptée pour vendre vos tableaux, vos antiquités et vos objets d’art dans les meilleures conditions.
• Première étape :
Demandez une estimation préalable de vos biens, d’après photographies.
Pour réaliser une estimation gratuite, veuillez utiliser le formulaire en ligne de demande d’estimation gratuite
• Deuxième étape :
Dépôt des oeuvres pour expertise approfondie.
Si vous prenez la decision de nous confier à la ventes les objets estimés, une expertise visuelle s’impose, avant. Pour cela, il vous suffit de déposer les objets à notre bureau.
• Troisième étape :
Mise en vente aux enchères de votre objet d’art et de collection.
Une fois l’expertise réalisée, nous déterminons une date de vente, en fonction du calendier des ventes aux enchères à venir.
LISTES DES PEINTRES ET SCULPTEURS QUE NOUS RECHERCHONS EN PERMANENCE :
Pablo Picasso, Henri Matisse, Emile Bernard, Paul Gauguin, Marc Chagall, Kees Van Dongen, Henri Le Sidaner, Maxime Maufra, Gustave Cariot, Paul Sérusier Armand Guillaumin Giovanni Segantini Celso Lagar Henri Moret, Paul Gauguin, Albert marquet, Maurice de Vlaminck, Henri Manguin, Maximilien Luce, Eugène Montezin, Slevinsky, Pierre Bonnard, Edouard Vuillard, Berthe Morisot, Eva Gonzales, Mary Cassatt, Gustave Caillebotte, Fréderic Bazille, Henri Edmond Cross, Edourd Manet, Georges Seurat,Camille Pissarro, Pierre Auguste Renoir, Alfred Sisley, Blanche Hoschedé Monet, Raoul Dufy, Maria Blanchard, Henri Martin, Albert Gleizes, Metzinger, Georges Valmier, Joseph Casky, Chana Orloff, Charles Camoin, Kandinsky, de Chirico, Serge Charchoune, Kalmikoff, de Feure, Yves Tanguy, Toulouse Lautrec, Ibels, Steinlen, Valotton, Maurice Denis, Jacques Villon, Marcel Duchamps, Eugène Boudin, Gustave Loiseau, Raoul Dufy, Foujita, henri Lebasque, Emile Bernard, Edouado Garrido, georges D’espagnat, victor Charreton Aristide Maillol Louis Valtat, Survage, auguste Herbin, Max Ernst, victor Brauner, Achille Laugé , Edouard Cortès, Gallien Laloue, Juan Gris, Georges Braque, bernard Buffet, Alexandre Calder Moise Kisling, Georges Lapchine, Jean Gabriel Domergue, Marcel Gromaire, ferdinand Loyen du Puigaudeau, Roderic O’connor, Jean Emile Laboureur, Edy-Legrand, Louis Icart, Emilio Grau Sala, Henri Martin, Henri Manguin, Henri Lebasque Louis Valtat Olive, Peské, Georges Lacombe, Charles Lapicque, Yves Tanguy Geoges Lacombe Chmaroff Le Corbusier Albert Gleizes Armand Seguin Toulouse Lautrec Maxime Maufra Ferdinand Hodler Ernest Bieler Felix Tobeen Roganneau Merodack jeanneau Marcel Beronneau André Lhôte Albert Marquet Gino Severini Wilfredo Lam Gustave Cariot Achille Laugé Henri Martin Paul Elie Ranson Edouard manet Auguste Renoir Edgar Degas Georges Braque Mary Cassat Henri Edmond Cross Alfred Sisley Georges Seurat Henri Le Sidaner Lucien Levy Dhurmer René Magritte André Maire Marcel Lenoir Charles Lacoste Louis Marcoussis Marin – Marie Henri Martin Henri Matisse Maxime Maufra Roberto Matta Gabriel Biessy Joan Miro Paula Modersohn Becker Georges de Monfreid Giorgio Morandi Gustave Moreau Berthe Morisot Gustave Adolphe Mossa Mela Muter Takanori Oguiss Constant Permeke Jean Peské Antoine Pevsner Francis Picabia Robert Pinchon Filippo de Pisis Camille Pissarro Armand Point Jean Pougny Léon Pourtou Maurice Prendergast René Princeteau Privat Livemont Ferdinand du Puigaudeau Jean Puy Oscar Rabine Jean François Raffaelli Armand Rassenfosse Odilon Redon Henri Regnault Joseph Rippl – Ronai Henri Rivière Georges Rouault Pierre RoyThé Van Rysselberghe Georges Sabbagh Key Sato Hugo Schreiber Luong Xuan Nhi Le Phô Vu Cao Dam Mai Thu Nguyen Pham Chanh Nguyen Gia Tri Bui Xuan Phai Nguyen Sang Nguyen Tu Nghiem Nguyen Nan Son Chang Shuhong Giambatista Tiepolo Jean Dominique Ingres Andréa Del Sarto Jacques Louis David Jacques-Laurent Agasse John James Audubon Jacques Barraband Jean-Baptiste Regnault Pierre Athanase Chauvin Anne-Louis Girodet de Roucy-Triosson François Marius Granet Achille Etna Michallon Jacques Augustin Catherine Pajou Joseph-Marie Vien François-André Vincent François Gérard, Anne-Louis Girodet et Jean-Germain Drouais Hubert Robert Pierre-Paul Prud’hon Pierre-Henri de Valenciennes Jean-Victor Bertin et Jean-Joseph-Xavier Bidauld Tischbein Jean-Germain Drouais Jean-Joseph Taillasson Charles-Paul Landon Dominique Vivant Denon Gavin Hamilton, Benjamin West, Raphaël Mengs Angelica Kauffmann …
copyright © artexpertise.fr